Clémence « L’Aristocrate » Farah La Lesbienne Marocaine ! (Partie 6)

C’en fut trop pour moi, l’aventure vécue avec les inconnus, ces hommes de la sécurité qui m’avaient enlevée sous les recommandations de mon mari, m’avait fait réfléchir. Pierre-Louis était prêt à tout, il avait l’argent nécessaire pour payer quelqu’un, uniquement pour me nuire et me rabaisser. Je stoppai définitivement mes relations sexuelles avec Boris, ce jeune traiteur. J’eus quelques difficultés à l’oublier mais ce qui était le plus difficile pour moi, c’était que j’avais un besoin de sexe interdit. Mon mari avait retrouvé une santé avec moi mais cela n’avait pas duré. Il devait prendre son plaisir violent avec d’autres femmes car il me délaissait de nouveau. Je n’avais aucun rapport sexuel pendant dix mois, il m’avait même fait retirer tous les sextoy en ma possession, je n’avais que les doigts et il me l’avait pourtant interdit. Je devais donc me cacher des servantes et de la gouvernante pour me masturber.

Il fallait que je trouve la parade, ce que je voulais c’était la verge d’un homme et cela me semblait insurmontable à trouver. Les seuls hommes, autre que son mari que j’avais l’occasion de croiser était le facteur lorsqu’il apportait des colis ou des lettres recommandées qu’il fallait signer. Avec lui, c’était impossible de l’inviter. Les gendarmes qui venaient pour s’assurer que tout allait bien, avec eux il m’était impossible de faire l’amour, d’autant plus qu’une gendarmette faisait partie de leur équipe. Et très rarement, les ouvriers lorsque des travaux étaient entrepris sur la propriété. Le seul homme que je voyais tous les jours, était le gardien : Richard. Ce quinquagénaire chauve et bedonnant était le mari de Micheline, la servante qui avait en charge les repas et le repassage. Il n’était pas beau, sans être repoussant, par contre il était très gentil et serviable, il se donnait à fond dans son travail dans le parc et était très respectueux de ses patrons, toujours prêt à me servir, il était attentionné avec moi.



Ce matin-là, j’étais très excité après avoir regardé un film porno sur internet, je n’en avais pas le droit, je devais supprimer l’historique afin que Pierre-Louis ne s’en aperçoive pas. Je m’étais masturbée mais ce n’étais pas suffisant, il me fallait du sexe, j’étais vraiment en manque. Je choisis donc ce mercredi pour demander à Richard de me satisfaire. À moins qu’il soit homo, il n’y avait aucune raison qu’il me refuse, car Micheline était loin d’être un canon. Mais je devais faire très attention, elle pourrait nous surprendre, elle donnait l’impression de tenir à son mari. J’étais allée la voir à la cuisine et lui demandai :
— Que fais Richard cet après-midi, j’aurais besoin de lui, pour les parterres de fleurs.
— Avec le vent qu’il y a eu cette semaine, il ramasse les branches mortes. Je lui dirai ce midi, il sera dans l’atelier vers 13h30.

Tout ceci se passait comme il fallait, Micheline ne reprenant qu’à 18 heures, elle serait chez elle dans leur petite maison à l’entrée de la propriété et la gouvernante serait en course. Je me maquillai à la limite de la vulgarité et j’enfilais des vêtements plus sexy de ce que je portais habituellement pour faire le jardin. Une fois prête, j’allais dans le parc pour retrouver Richard qui était comme me l’avait dit sa femme, dans l’atelier. Il m’attendait avant de partir à ses tâches :
— Vous avez besoin de moi Madame Clémence ?
— Oui Richard ! Mais c’est assez délicat de vous parler de ça.
— Vous savez, vous pouvez compter sur ma discrétion, on se connais depuis suffisamment longtemps.
— C’est vrai Richard ! Comment me trouvez-vous ? Soyez franc. Lui dis-je en faisant un tour complet sur moi-même.
— Vous êtes splendide Madame, jeune et jolie. Mais pourquoi me demandez-vous cela ? Ne croyez pas que je…
— Non ! Non ! Richard, mon mari ne me touche plus du tout et lorsqu’il le fait, il me violente.

Je m’étais rapprocher de lui et me mis à pleurer sur son épaule.
Le pauvre, il n’osait pas me toucher, Je ne sentais à peine ses mains qui étaient posées sur mes hanches. Là, son sourire se figea, il ne savait plus quoi penser. C’était très excitant de le voir ainsi, il fallait que je le rassure :
— Richard ! J’ai un besoin urgent de sexe. Tu veux bien…
J’avais pris le tutoiement pour le sécuriser, après tout s’était un homme et je voyais bien que mes propos l’avaient stimulé, il jeta un œil à l’extérieur, de là où nous nous trouvions, il vit sa femme à cinq cent mètres en train d’étendre son linge.
— Vous voulez réellement faire l’amour avec moi ? Dit-il, en n’osant pas poursuivre le tu.
— Bien sûre, sinon je ne te le demanderais pas. Viens ! Ici !

Sans plus nous parler, je lui fis une pipe pendant qu’il me caressait la poitrine puis il m’avait fait jouir avec ses caresses manuelles et buccales. Après avoir posé une couverture sur la remorque attelée au petit tracteur, il m’avait fait l’amour tout en douceur mais avec une grande application, j’avais connu une nouvelle jouissance.

Je m’étais aperçu que la drague directe fonctionnait, les hommes qu’ils soient jeune ou vieux ne voyait qu’une chose quand il me voyait, c’était de me baiser. Serais-je devenue une vraie salope ? Pendant deux mois je couchais avec Richard, il n’attendait que cela, c’était soit dans le local de notre piscine ou dans son atelier dans un respect total et en toute discrétion. Nous le faisions au rythme d’une fois par semaine, tous les mercredis car il ne voulait pas éveiller les soupçons, Micheline était jalouse, m’avait-il dit. Je n’étais pas tout à fait rassasiée, j’en voulais encore plus mais cela m’avait changé la vie.

Un mercredi après-midi, je venais de me préparer, j’allais retrouver Richard dans le parc, lorsque Farah la fille du consul du Maroc se présenta à notre domicile. Me voyant ainsi vêtue, elle fut très surprise, elle me dévisagea de la tête au pied et me dit :
— Tu es splendide Clémence, totalement méconnaissable.

— Je te plais comme ça ?
Sans répondre, elle s’approcha de moi et commença à me toucher et à me caresser les hanches en faisant semblant d’arranger mon teeshirt :
— Tu es trop belle Clémence, tu me plais beaucoup.
— Viens installe-toi. Que me vaut ta visite ?
— Je viens t’annoncer que mes parents ont trouvé un homme pour moi, je vais me marier.
— C’est super ça !

Farah vint à côté de moi, me passa un bras autour du cou, posa sa tête contre ma poitrine et commençait à pleurer.
— Il a quarante ans et je ne l’aime pas, je suis lesbienne.
Pour la réconforter, je baissai la tête et l’embrassai sur le front. Je ne savais pas quoi dire. Farah lança sa drague, elle me fixa droit dans les yeux et me dit :
— Je t’aime Clémence depuis le jour de notre rencontre au château, je ne pense qu’à toi, j’étais très jalouse de mon frère. Je peux t’embrasser ? Me demanda-t-elle directement.
Je ne répondis pas, Farah me faisait une déclaration, la situation m’excita mais j’étais surprise de ses propos, elle poursuivi en disant :
— Puis-je te demander ce que tu portes sous ta petite robe ? Comment sont tes sous-vêtements ?

Tout alla trop vite pour moi, je ne savais plus comment faire, je ne pensais pas que je puisse être aussi intimidée par les avances directes d'une femme. Elle était si jolie, mais avais-je de l'attirance pour elle ? Pourtant elle m’excitait en me montrant sa petite culotte. J'enviais sa poitrine, à côté de mes petits seins, ceux de Farah semblaient vouloir sortir de son décolleté.
Je repris mes esprits et lui dit timidement :
— Le plaisir charnel, je n'en ai pas le droit...Je suis mariée. En ce qui concerne la deuxième question, je porte des sous-vêtements en effet, un soutien-gorge et une culotte tout ce qui il y a de plus banal. Ils sont blancs. Dis-je en levant le bas de ma robe pour lui montrer.

« Tu n’as pas le droit au plaisir charnel ! et Fadoul ! » Me dit-elle en me faisant un clin d’œil et en poursuivant : « Tes jambes sont splendides, elles méritent d’être caressées.
»
Farah se leva et se retourna vers moi et retroussant ma robe, elle se mit à me caresser les cuisses. « Splendides et super douces » Dit-elle. « Tu me troubles Farah. » Lui dis-je en posant ma main sur la sienne. « Tes mains sont magnifiques et si douces également. »

Heureusement, nous étions seules, la jeune marocaine insista, sa main prit possession de mon entrecuisse et commença ses caresses par-dessus le tissu immaculé de ma petite culotte. Je ne pouvais répondre à ses propos, ses doigts m’électrisaient, j’avais des frissons et la chair de poule, j’étais tétanisée. J’avais envie de l’embrasser, de lui caresser les seins qui étaient splendides mais j’appréhendais, j’avais peur de m’y prendre mal et qu’elle arrête ses caresses. Je gémis pourtant. Le désir montait en moi, je mouillais, ma petite chatte se trempait, pour le bien qu’elle me procurait. Oui ! j’avais peur d’y prendre goût surtout, je voudrais tant me lâcher mais je n’y parvenais pas.

J’appuyai mon dos sur le dossier du canapé en avançant le bassin, à la limite du coussin, j’écartais un peu plus les cuisses afin de libérer plus de place et que Farah poursuive ce qu’elle avait entrepris. C’est-à-dire me caresser, j’attendais que ses doigts s’insinuent dans ma vulve. Je ne pensais plus à Richard, ni à Pierre-Louis, il n’y avait que Farah et moi, nous étions uniquement toutes les deux, je libérai encore un peu de cyprine qui suintait de mes grandes lèvres, j’étais dans une excitation que je ne pensais pas être capable. Mon bras reposait désormais sur son épaule opposée, passant derrière sa tête, J’avais très envie de l’embrasser, j’approchai mon visage vers le sien mais stoppa le mouvement, je ne pouvais pas faire mes avances, je préférais qu’elle prenne la direction des opérations. Le comprendrait-elle ? Ses paroles me surprenaient pourtant, elle n’avait pas l’air si sensuelle, elle semblait même se moquer de moi en disant :
— Je crois bien que ma main sur sa petite chatte te plaît bien. Je sens que tu es toute mouillée.

Farah remonta sa main puis, écartant l’élastique de la petite culotte, elle glissa sa main à l’intérieur et la posa sur ma vulve :
— Je confirme, tu es trempée, je t’excite. Je suis sûre que tu as les tétons qui pointent en plus.
Je fis oui de la tête, n’y tenant plus, j’osai dire timidement toutefois :
— Embrasse-moi Farah, je veux ta bouche contre la mienne.
Elle approcha ses lèvres des miennes pour un baiser fougueux. Ses lèvres collées aux miennes, elle m’embrassait à pleine bouche. Sa langue avait le goût du miel, c’était magique d’embrasser une femme telle qu’elle, j’étais transportée dans un bonheur total. Lorsque nos bouches se séparèrent, je lui dis tendrement :
— Fais-moi l’amour, c’est la première fois pour moi. Montre-moi.

Je tournai mon torse et pris son visage entre mes mains, je reprenais possession de sa bouche et de sa langue. J’aimais ce contact, j’aimais sa salive, j’aimais sa bouche. Je craquais pour ma jeune amie tout simplement. Puis, s’écartant un peu de moi, pour me rassurer :
— Alors laisse-moi faire. Débarrasse-toi de ta robe, je te veux nue pour moi toute seule. Me dit-elle tout en se déshabillant.

Elle déboutonna son chemisier et l’envoya sur moi. Puis ce fut au tour de sa minijupe de se retrouver sur le sol, dévoilant un string couleur chair. Je m’étais levée un peu déçue de ne plus sentir ses doigts en moi. Je m'exécutai, me laissai me dévêtir. Lorsque nous étions nues toutes les deux, nous nous sommes prises dans les bras et nous avons renouvelé notre baiser. Nos bouches soudées l’une à l’autre, nos langues s’entremêlaient, ses mains commencèrent à explorer mon corps que je lui offrais, j’étais à sa merci. Son pubis collant au mien semblait danser en se frottant à moi.
— Allonge-toi sur le canapé. Me dit-elle soudainement.

Je m’allongeai docilement, puis lorsque Farah vint m’embrasser à nouveau, en s’allongeant sur moi, je lui caressai timidement le dos et ses fesses. Sa bouche quitta la mienne et descendit sur ma poitrine. Sa langue vint jouer avec mes tétons et ses mains caressaient mes seins et mes hanches. Ses lèvres embrassaient ma poitrine avec délicatesse. Sa bouche reprit sa progression et glissa sur mon ventre, puis sur mon bas ventre, sa langue jouait un moment avec ma fine pilosité, puis elle posa ses lèvres sur mon sexe. Farah avait entrepris de me lécher de bas en haut avec tendresse, nettoyant mes sécrétions de cyprine. Puis du bout de sa langue, elle me pénétra, me provocant un gémissement tandis que je pris sa tête à deux mains comme pour l’incruster entre mes cuisses. Ses doigts jouaient et fouillaient mon intimité pendant qu’elle aspirait mon clitoris. Notre étreinte n’était ni fougueuse, ni passionnée mais d’une délicatesse sans pareil comme une friandise.

Farah plaça une main dans son sac et en sortit un sextoy assez impressionnant, Je croyais bien qu’il était dans ses intentions de me faire jouir et jouir encore. Sa langue me titillait tandis qu’elle frottait le gode sur les mamelons érigés de mes seins. Soudain, un cri suivit mes gémissements, Je serrai les cuisses emprisonnant sa tête, je m’étais cambrée puis mon corps se tendit comme un arc avant de tressauter sous la soudaineté de mon orgasme. Je coulais mon plaisir sur sa bouche, je poussai toujours quelques petits cris dû à ma jouissance.

Elle me regarda d'un air gourmand, elle se leva en disant « à ton tour de me faire jouir avec ta bouche maintenant » Elle s’allongea sur le sol, les cuisses écartées sur le tapis, et me fait signe de m’approcher. Un peu timide, j’obéis néanmoins et vins poser ma main en tremblant sur son sexe. Je la caressais doucement, délicatement, ce n’était pas ce qu’elle attendait :
— Non, lèche-moi m’ordonna-t-elle alors sèchement.
— Je ne l’ai jamais fait. Lui répondis-je.
— Ne t’inquiète pas, je te guiderai.

Tandis que j’approchai ma bouche de sa chatte trempée, elle m’attrapa la tête à deux mains et plaqua ma bouche sur ses grandes lèvres afin que je commence mes caresses buccales et de mes mains, je lui pétrissais les seins. La sentant frissonner au contact de mes doigts sur sa peau nue et de ma langue qui fouillait son sexe. Je lui pinçais les tétons en malaxant les seins, Je sentais sa respiration s’accélérer, ses seins se soulevèrent sous mes mains, elle se mit à soupirer de plus en plus puis elle s’abandonna :
— « ouiii ... » lâcha- elle, soudain en serrant ses cuisses sur ma tête.

Je m’écartai de son sexe pendant qu’elle libérait son orgasme. Je m’allongeai à côté d’elle sur le tapis mais dans un mouvement rapide, elle vint à califourchon sur mon visage :
— Bois ma jouissance, ça porte bonheur la première fois. Me dit-elle.
Ma langue posée sur sa petite chatte baveuse, je léchais ce qui coulait sur mes lèvres et je dégustais son nectar, le temps que Farah récupère de son orgasme. Je gémissais sous ses mains caressant mes seins pour décupler mon plaisir.

Nous nous étions allongées côte à côte, nous nous étions prises dans les bras en nous embrassant de nouveau. Nos bouches collées, nos seins en contact, nos pubis se frottaient, nos caresses mutuelles firent monter notre désir, nous avions décidé d’en reprendre. Après deux heures passées à nous faire l’amour, nous nous étions rhabillées. J’étais rassasiée et voulais déjà recommencer dès que cela serait possible. Il m’avait peut-être manqué une verge, ma jeune amie marocaine s’en était aperçu dans notre petite conversation, elle m’avait tout simplement dit :
— Tu sais, nous avons quelques petits jouets que nous pourrons utiliser une prochaine fois. En attendant, prépare-toi, Abdelkrim, mon futur mari sera bientôt là.

Je n’eus pas le temps de répondre que déjà dans l’entrebâillement de la porte Richard faisait entrer un homme très classe, son teint et ses cheveux crépus ne pouvaient trahir ses origines, les yeux sombres avec un petit sourire en coin, il dit à Farah sans que cela soit un reproche mais plutôt une constatation :
— Alors c’est elle, Clémence ! C’est cette femme dont tu es amoureuse.
— Oui ! Krimau, je peux désormais me marier avec toi. Merci.

J’étais stupéfaite, je ne savais que dire, Farah était venue me faire l’amour car elle savait qu’elle ne pourrait plus le faire avec qui que ce soit hormis son mari. Elle avait tenu à venir me voir et surtout me séduire. Abdelkrim rompit le silence qui pesait dans le salon :
— Bon ! Je vous emmène toutes les deux au restaurant. J’ai envie de faire ta connaissance Clémence, Fadoul m’a beaucoup parlé de toi.

La suite de l’histoire dès Mardi prochain, vous avez à votre disposition, la liste des précédents récits en bas de page. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous.
Si comme Clémence vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email. Vous me donnez un petit résumé puis avec le jeu des questions, réponses, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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